En 1967 à Gstaad, une petite station de sports d’hiver dans le Canton de Berne en Suisse. Douze ans ont passé depuis la mission au Caire. OSS 117 y est en paisible villégiature lorsqu’il est confronté à des gangsters chinois qu’il abat les uns après les autres.
Critique personnelle pas repompée
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Faire une suite réussie à un film aussi casse gueule que le premier OSS relevait de la gageur. Et c’est pourtant une mission qu’a su accomplir avec brio Michel Hazanavicius.
On retrouve tout l’humour du premier film, basé sur le contraste entre un espion français, très très français (raciste et de droite donc), et le monde qui l’entour. On retrouve aussi des nazis, des chinois, bref, tout ce qui fait le sel d’OSS 177.
Je trouve l’écriture du film plus aboutie que le précédent, plus fine dans l’outrancier, et la réalisation est sublimée par les quelques split-screen qui ponctuent certaines séquences. Par ailleurs, la photographie et les décors reprennent bien l’univers des années 70.
Mention Spéciale
Mention spéciale pour Alex Lutz qui est incroyable dans ce film.
Meilleure réplique
On en reparlera quand il faudra porter quelque chose de lourd
Au final
ce film est pour celleux qui aiment les chinois à Gstaad.